Nous rassemblons nos experts autour de ces 4 premiers dossiers et nous nous exprimons d’une seule voix forte.
La pénurie aiguë d’espaces de stationnement pour camions et d’installations connexes est une préoccupation croissante pour notre organisation. Ce problème a non seulement un impact majeur sur la sécurité et le repos de nos chauffeurs, mais il affecte également l’efficacité de nos activités. Nous nous efforcerons de trouver des solutions durables, telles que le développement des parkings et l’amélioration des infrastructures, afin que les chauffeurs de poids lourds puissent se reposer en toute sécurité en disposant des installations nécessaires.
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Le handicap du coût salarial est le problème par excellence auquel sont confrontés nos transporteurs belges. Les coûts salariaux élevés ont un impact significatif sur notre stabilité financière et sur notre position concurrentielle vis-à-vis des nouveaux États membres, mais aussi des pays voisins. Nous étudions activement les moyens de gérer et d’optimiser nos coûts salariaux sans compromettre la qualité de notre main-d’œuvre.
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La transition vers des véhicules à émissions nulles prendra encore au moins 15 à 20 ans. Jusqu’à ce qu’il y ait une véritable alternative au diesel en termes techniques, opérationnels et financiers, le maintien du diesel professionnel est essentiel pour notre secteur.
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Les indices mensuels de l’ITLB sont incontournables dans notre secteur. Ils donnent une indication claire de l’évolution du prix de revient dans le secteur des transports. Ces indices sont un outil utile dans les négociations de prix et sont souvent intégrés dans les contrats. La régionalisation des compétences en matière de transport ne doit en aucun cas entraîner la disparition de ces indices.
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